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Les prochaines fêtes du calendrier romain
décembre
202524novToute la journée21décRepeating EventBrumalia
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Détail de la statue d'un éphèbe couronné de lierre. Fin du 1er siècle, Volubilis. Musée archéologique de Rabat,
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Ante diem octavum Kalendas Decembres – Ante diem duodecimum Kalendas Januarias
Dans le calendrier romain, les Brumalia étaient des fêtes hivernales célébrées à la fin de novembre et en décembre. Peu connues en comparaison des Saturnales ou des Lupercales, ces festivités mettaient en lumière l’importance des cycles saisonniers dans la vie des Romains et des peuples de l’Antiquité.
Le terme Brumalia dérive du mot latin bruma, qui signifie « le jour le plus court » ou « solstice d’hiver », marquant ainsi le début de la célébration, autour du 24 novembre. Cette fête s’étendait souvent jusqu’au solstice d’hiver, au 21 décembre, voire au-delà dans certaines pratiques locales. L’esprit de ces célébrations était avant tout agricole et pastoral, mais elles prenaient aussi des accents religieux et politiques.
Les Brumalia remontent aux temps pré-romains, ancrées dans la reconnaissance des forces naturelles qui rythmaient les saisons. À l’approche de l’hiver, les récoltes étaient terminées, les champs étaient en sommeil, et les bêtes avaient été abattues ou mises à l’abri pour survivre au froid. C’était donc un moment propice à la réflexion, à l’introspection, mais aussi aux célébrations.
Durant les Brumalia, les Romains honoraient plusieurs divinités. On offrait des sacrifices à Saturne, le dieu du temps et de l’agriculture, pour protéger les récoltes, et à Cérès, déesse des moissons. La figure d’Apollon, dieu solaire et protecteur de l’hiver, était également centrale, car il symbolisait le retour progressif de la lumière après la période la plus sombre de l’année. On priait pour la bonne santé des récoltes à venir et pour la fécondité de la terre.
Les festivités comportaient des aspects festifs et conviviaux. Il était de coutume d’offrir des cadeaux, en particulier des couronnes de lierre, symbole de longévité, mais aussi de déguster du vin nouveau. L’ivresse, symbolisant l’abandon à la nature, faisait partie intégrante des réjouissances, tout comme les banquets, qui marquaient une pause dans les rigueurs de l’hiver.
Sous l’Empire, et particulièrement durant le règne de l’empereur Justinien, les Brumalia devinrent des célébrations plus formelles, adoptées par la cour impériale de Constantinople. Bien que ces fêtes eussent à l’origine une dimension païenne, elles s’adaptèrent aux réalités de la nouvelle culture chrétienne. En effet, Justinien lui-même prolongea certaines des pratiques, en les liant à des commémorations plus civiques, tout en s’éloignant des anciens cultes polythéistes.
Le dernier vestige des Brumalia fut probablement absorbé par les festivités chrétiennes autour de Noël. La tradition du festin, du vin, et des cadeaux survécut dans les pratiques populaires, mais le sens religieux évolua.
Dates
Novembre 24, 2025 - décembre 21, 2025 (Toute la journée)
202517décToute la journée23Repeating EventSaturnalia
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Ante diem sextum decimum Kalendas Ianuarias - Ante diem decimum Kalendas Ianuarias Détail de la face
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Ante diem sextum decimum Kalendas Ianuarias – Ante diem decimum Kalendas Ianuarias

Les Saturnalia étaient parmi les célébrations les plus populaires et emblématiques de la Rome antique, honorant Saturne, le dieu de l’agriculture. Ces fêtes, qui se déroulaient chaque année à la mi-décembre, commençaient initialement le 17 décembre et se prolongeaient souvent jusqu’au 23 décembre. Elles marquaient la fin des semailles et le début de la saison des récoltes, symbolisant un moment de transition dans le cycle agricole.
Les Saturnalia étaient caractérisées par un ensemble de rituels festifs. La célébration débutait par un sacrifice rituel dans le temple de Saturne, situé dans le Forum romain. Les Romains offraient des victimes, souvent des animaux, pour montrer leur dévotion envers le dieu. Pendant cette période, le travail était suspendu, offrant à tous l’occasion de participer aux festivités. Les citoyens se rassemblaient pour des banquets animés, où l’abondance de nourriture et de vin était à l’honneur.
Un des aspects les plus fascinants des Saturnalia était l’inversion des rôles sociaux. Les esclaves, traditionnellement soumis à l’autorité de leurs maîtres, jouissaient d’un certain relâchement de leurs tâches et avaient la liberté de se moquer de leurs patrons. Cette inversion temporaire favorisait un sentiment de camaraderie et de joie partagée au sein de la communauté, permettant à chacun, quelle que soit sa position sociale, de participer à la fête.
L’échange de cadeaux était également une tradition bien établie durant les Saturnalia. Les Romains offraient des présents symboliques, allant de figurines à de la nourriture, renforçant ainsi les liens d’amitié et de famille. Ces échanges s’inscrivaient dans un esprit de générosité et de convivialité qui caractérisait la période.
Avec le temps, les Saturnalia ont laissé un héritage durable sur la culture romaine et ont influencé des célébrations ultérieures, notamment les traditions chrétiennes de Noël. Des éléments tels que les repas festifs et l’échange de cadeaux trouvent leur écho dans les festivités modernes.
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Dates
Décembre 17, 2025 - décembre 23, 2025 (Toute la journée)
202521décToute la journéeRepeating EventDivalia / Angeronalia
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Ante diem duodecimum Kalendas Ianuarias Les Divalia ou Angeronalia sont des fêtes romaines célébrées le 21 décembre, marquant le solstice d'hiver. Ces célébrations, qui se déroulaient en l'honneur de
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Ante diem duodecimum Kalendas Ianuarias
Les Divalia ou Angeronalia sont des fêtes romaines célébrées le 21 décembre, marquant le solstice d’hiver. Ces célébrations, qui se déroulaient en l’honneur de la déesse Angerona, sont intéressantes pour comprendre la manière dont les Romains associaient leurs pratiques religieuses aux cycles naturels et à la protection divine.
Angerona, la déesse honorée pendant ces fêtes, est une divinité mineure de la mythologie romaine, souvent représentée avec un doigt sur les lèvres, ce qui symbolise le silence et la discrétion. Elle est associée à la guérison des douleurs et des peines, ainsi qu’à la protection contre les ennemis. Son nom est lié au mot angor signifiant «étroit», ce qui symbolise la difficulté que les Romains cherchaient à surmonter à cette période de l’année.
Le culte d’Angerona incluait des sacrifices rituels dans le petit temple de Volupia, une autre déesse mineure associée au plaisir et à la satisfaction. Volupia, bien que souvent assimilée à Voluptas, déesse gréco-romaine du plaisir, servait d’emblème du contentement à l’intérieur du rituel.
Les rites de Divalia / Angeronalia comportaient des sacrifices dans le temple de Volupia. Les prêtres, appelés pontifes, offraient un sacrifice rituel à Angerona, invoquant sa protection et sa bénédiction pour l’année à venir. Dans son sanctuaire, la statue d’Angerona était souvent ornée d’un bandeau ou marquée d’un sceau, indiquant le silence et la protection. Ce geste symbolisait la capacité d’Angerona à protéger les Romains contre les menaces, en préservant le secret sacré de la ville.
Dates
Décembre 21, 2025 Toute la journée
202525décToute la journéeRepeating EventDies Natalis Solis Invicti
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Ante diem octavum Kalendas Ianuarias En tant qu'empereur de 270 à 275, Aurélien est connu pour sa victoire contre la reine de Palmyre, Zénobie, et pour sa restauration de
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Ante diem octavum Kalendas Ianuarias
En tant qu’empereur de 270 à 275, Aurélien est connu pour sa victoire contre la reine de Palmyre, Zénobie, et pour sa restauration de l’ordre au sein de l’Empire romain. Pour renforcer le sentiment unitaire de l’empire, Aurélien décide d’instaurer un nouveau culte commun à l’ensemble de l’Empire, un culte qui n’était plus efficacement assuré par le culte impérial existant.
En décembre 274, lors de l’inauguration de son temple au Champ-de-Mars de Rome, Aurélien officialise le culte de Sol Invictus. Le 25 décembre, date considérée comme celle du solstice d’hiver, est proclamée comme le jour de la naissance du Soleil invaincu (en latin: dies natalis Solis Invicti). Ce nouveau culte est destiné à être le patron principal de l’Empire romain et est accompagné par un collège de prêtres spécifiques, les pontifices Solis («prêtres du Soleil»). Le temple de Sol Invictus, construit avec le butin rapporté de la campagne contre Zénobie, reçoit un important culte à partir de cette date.
Cette nouvelle fête tombe peu de temps après la fête très ancienne des Saturnales, qui duraient du 17 au 23 décembre et étaient considérées comme la plus importante de la Rome antique. Le 25 décembre commence ainsi à être associé à une naissance, un concept repris par la suite par le christianisme, qui en fait le jour de la naissance de Jésus, donnant naissance à la fête de Noël. L’étymologie et le sens religieux du terme Natalis sont préservés dans des mots comme Nadal en espagnol, Natale en italien, etc.
Ce culte de Sol Invictus n’affecte ni les autres cultes polythéistes, ni le culte chrétien, qui continuent à coexister, souvent en conflit, avec le nouveau culte solaire instauré par Aurélien.
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Dates
Décembre 25, 2025 Toute la journée
janvier
202609janvToute la journéeRepeating EventAgonium Jani
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Ante diem quintum Idus Ianuarias Les Agonalia étaient d'anciennes festivités
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Ante diem quintum Idus Ianuarias

Les Agonalia étaient d’anciennes festivités religieuses romaines, célébrées plusieurs fois par an en l’honneur de diverses divinités. Parmi ces célébrations, l’Agonalia du 9 janvier occupe une place particulière dans le calendrier religieux romain. Cette date était traditionnellement associée à Janus, le dieu des commencements, des portes et des passages.
Les origines de l’Agonalia du 9 janvier remontent probablement à l’époque de Numa Pompilius, le semi-légendaire deuxième roi de Rome, qui est traditionnellement crédité d’avoir introduit et codifié de nombreux rites religieux. L’association avec Janus est renforcée par la nature même du dieu: Janus représentait à la fois la fin d’une année et le début d’une nouvelle, symbolisant ainsi la transition entre l’ancien et le nouveau. Les cérémonies de l’Agonalia, alors, seraient une forme de rite de passage, non seulement pour l’année nouvelle mais aussi pour la communauté dans son ensemble.
En ce jour, selon Ovide et Varron, le rex sacrorum sacrifiait un bélier à Janus. Ce sacrifice était peut-être un vœu pour la nouvelle année: l’approbation donnée par le rex sacrorum à l’assistant qui demandait l’autorisation d’effectuer le premier sacrifice de l’année était considérée comme un bon présage pour tous les sacrifices à venir et comme un signe de leur acceptation par les dieux.
Il semble que cette fête était étroitement liée au dies agonalis du 11 décembre, le Septimontium, avec lequel elle formait peut-être une période de deux jours autour du solstice d’hiver. Il s’agirait alors de rituels anciens accomplis par le rex pour célébrer la «mort et renaissance» du soleil.
Il existe plusieurs versions sur le nom exact de cette fête et sur sa signification. Ovide, dans ses Fastes (Ov. Fast. I, 319 et suivants; cf. Macr. Sat. I, 16, 5), l’appelle dies agonalis ou agonalia. Selon lui, l’étymologie principale réside dans le fait que, avant d’accomplir le sacrifice, le prêtre ou le victimarius avait l’habitude de demander une sorte de permission aux dieux pour la mise à mort de la victime, en utilisant le mot agone. Ce mot serait issu de ago (j’agis) et de ne (particule interrogative). Une autre étymologie, également rapportée dans ce passage, fait remonter le nom de la fête à agonia, un ancien terme désignant le bétail, qui serait ensuite devenu synonyme de victimes sacrificielles (Fest. 9), où la fête est appelée agonium.
Dates
Janvier 9, 2026 Toute la journée
202611janvToute la journéeRepeating EventJuturnalia
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Ante diem tertium Idus Ianuarias Les Juturnalia, célébrées le 11 janvier,
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Ante diem tertium Idus Ianuarias

Les Juturnalia, célébrées le 11 janvier, étaient une fête dédiée à Juturne, une déesse associée aux sources, fontaines et eaux courantes. Son culte, profondément enraciné dans la religion romaine, reflète des croyances ancestrales autour de l’eau comme source de vie et de purification.
Le culte de Juturne semble provenir de Lavinium, où la déesse était vénérée pour son lien avec une source sacrée près du fleuve Numicus. Les Romains en firent une divinité locale, liée au lacus Juturnae dans le Forum. Son nom pourrait dériver du latin juvare («aider, assister»), évoquant son rôle bénéfique. Une variante, Diuturna, a été interprétée comme signifiant «fille de Jupiter», établissant une possible connexion avec le dieu suprême.
Selon une hypothèse philologique, Juturne pourrait également avoir été une divinité protectrice de la société héroïque, une figure étroitement associée à la prospérité et à la vitalité.
Dans les récits mythologiques, Juturne est décrite comme la fille de Vénilia, une déesse des eaux douces, et comme la sœur du roi rutule Turnus. Aimée de Jupiter, elle reçut l’immortalité et la tutelle des sources en récompense de leur relation. Elle est parfois présentée comme l’épouse de Janus, avec qui elle aurait eu pour fils Fontus, une autre divinité liée aux eaux.
Dans l’Énéide de Virgile, Juturne intervient pour secourir son frère Turnus pendant son duel contre Énée. Elle lui rend son épée et tente de le sauver, avant d’être contrainte par une Furie envoyée par Jupiter de se retirer, laissant son frère à son destin tragique.
Le principal lieu de culte de Juturne à Rome était le lacus Juturnae, une fontaine située dans le Forum Romain, près du temple de Vesta et des Dioscures (Castor et Pollux). Ce site, considéré comme une source d’eau pure et salubre, jouait un rôle central dans les rituels religieux publics.
Les légendes associent étroitement Juturne aux Dioscures. Après la bataille du lac Régille, Castor et Pollux auraient abreuvé leurs chevaux à cette fontaine. Les découvertes archéologiques sur ce site incluent des statues des Dioscures, renforçant ce lien mythique.
Un temple dédié à Juturne fut également érigé au Champ de Mars par C. Lutatius Catulus, après sa victoire lors de la première guerre punique en 241 av. J.-C. Situé près de la fontaine de l’aqua Virgo, il comportait une statue dorée de la déesse.
La fête des Juturnalia honorait Juturne comme garante de la pureté et de la vitalité des eaux. Célébrée le 11 janvier, elle impliquait notamment la corporation des fontaniers, des artisans qui gagnaient leur vie grâce à l’eau. La date, en plein mois de janvier, est significative: Juturne était parfois associée à Janus, divinité du début de l’année, et à leur fils commun Fons.
Les célébrations incluaient probablement des rites de purification, des offrandes à la déesse, et des processions dans les lieux qui lui étaient consacrés.
Dates
Janvier 11, 2026 Toute la journée
202611janv(janv 11)13:5615(janv 15)13:56Repeating EventCarmentalia
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Ante diem tertium Idus Ianuarias - Ante diem octavum decimum Kalendas Februarias Les Carmentalia étaient des fêtes religieuses romaines très anciennes,
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Ante diem tertium Idus Ianuarias – Ante diem octavum decimum Kalendas Februarias
Les Carmentalia étaient des fêtes religieuses romaines très anciennes, célébrées en l’honneur de la déesse Carmenta. Ces festivités, qui avaient lieu les 11 et 15 janvier, sont remarquables dans le calendrier romain par leur structure unique: deux jours séparés par un intervalle de trois jours. Cette particularité a intrigué les historiens, bien qu’elle trouve des parallèles dans d’autres cycles festifs du calendrier romain, comme les Quinquatrus et les Tubilustrum, ou encore les Consualia et les Opalia.
Carmenta, selon la tradition, était une divinité aux origines très anciennes, comme en témoigne l’existence d’un flamen carmentalis, prêtre spécialisé dans son culte [Cicéron, Brutus XIV, 57 ; ILS 1418]. Cependant, dès la fin de la République, les détails de son culte étaient déjà confus.
Selon la légende rapportée par Ovide (Fastes I, 462 et suivants; VI, 531) et Tite-Live (Histoire romaine I, 37), Carmenta était la mère d’Évandre, un héros venu d’Arcadie qui s’installa dans le Latium. Dotée de dons prophétiques, elle accompagna son fils et s’établit près du Capitole, au niveau d’un promontoire connu sous le nom de Saxum Carmentae [Tite-Live, V, 47, 1-2; Denys d’Halicarnasse, I, 32; Servius, Commentaire à l’Énéide VIII, 339]. Après sa mort, un sanctuaire (sacellum) fut érigé en son honneur à cet endroit, près de la porta Carmentalis.
Ainsi Carmenta était-elle une déesse de la naissance et de la prophétie, associée à l’innovation technologique, à la protection des mères et des enfants, et au rôle de patronne des sages-femmes. Elle aurait également, selon certaines traditions, inventé l’alphabet latin.
Elle est souvent associée à l’eau, comme le mentionne Virgile (Énéide VIII, 336), peut-être en lien avec la proximité de sa fête avec celle de Juturne (11 janvier). Les dons prophétiques, fréquemment reliés aux sources et aux cours d’eau, renforcent cette association. Isidore de Séville (Origines I, 4, 1; V, 39, 11) précise que son nom dériverait de carmen (chant ou oracle), et qu’elle aurait introduit l’alphabet chez les Latins.
Carmenta était également vénérée avec deux divinités associées: Porrima et Postverta, symbolisant respectivement la connaissance du futur et du passé. Selon Aulu-Gelle (Nuits attiques XVI, 16), ces figures étaient invoquées pour des accouchements sans complication, en fonction de la position du bébé à la naissance.
Les pratiques religieuses liées à Carmenta révèlent une dévotion empreinte de respect pour la vie et la pureté. Un texte de Varron, cité par Censorinus (De die natali II, 2), souligne que le jour de naissance était marqué par des libations de lait ou de vin, mais sans sacrifices sanglants. Cette règle s’appliquait également au culte de Carmenta: il était interdit d’introduire des objets en cuir ou des carcasses d’animaux dans son sanctuaire.
Les matrones romaines jouaient un rôle central dans le culte de Carmenta. Selon Plutarque (Questions romaines 56) et Ovide (Fastes I, 619-626), un second jour de fête (15 janvier) aurait été ajouté à la suite d’un conflit entre les matrones et le Sénat, qui leur avait interdit l’usage des chariots couverts (carpenta). En signe de protestation, elles auraient cessé d’accomplir leurs devoirs conjugaux, entraînant une baisse des naissances. Le Sénat, cédant à leurs revendications, leur restitua ce privilège, et le deuxième jour des Carmentalia fut instauré.
Dates
Janvier 11, 2026 13:56 - janvier 15, 2026 13:56






